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Manuel sur Scène


Manuel s’annonce mi-homme, mi-mode d’emploi comme une interrogation qui s’acharne sur la vie et sur l’espèce que nous sommes sur terre. Espèce parlante c’est au langage et à la perception que s’attaque Manuel. Et il le fait à un tel point tel que cela semble bien devenir universel, à notre échelle bien sûr, qui est petite mais globale à la foi. Ainsi Manuel est un format, musique est sa toile de fond, et à partir de là il se décline sans fin, à la recherche de sens ? de sons ? La question du sens est qu’il est partout : insaisissable, inévitable, piège ontologique sur lequel nous n’arrivons pas à nous empêcher de tomber! Et donc Manuel se relève, fort de nouveaux sens qui miroitent. à l’infini? Car il faudrait bien que cela s’arrête, que cela se fixe. Il faudrait bien que universel et infini se distinguent à la fin. Cela semble être le combat (in(c))lassable de Manuel-moulin à paroles D.Quixote de l'aube du XXIème siècle, hérault d’un temps passé et précurseur d’un temps futur. Alors c’est dans le son que Manuel s’arrête quelques instants. C’est dans le son qu’il trouve le répi et les forces qui lui permettent de continuer ; et nous aussi, qui l’accompagnons depuis belle lurette dans ces épreuves formidables remplies de passion, clins d’oeil, ironie, génerosité, sagesse, folie, que les mots seuls arrivent mal à d’éc’rire…



Manuel sur Scène

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