Línea 9: Línea 9:
  
  
Alvaro, manuelisant tout ; ou Manuel, alvarisant tout, ce qui revient au même – et qui n’est pas du tout pareil – ; a / ont décidé potentialiser la mise : Ramasser un groupe de fidèles amis – inconscients (oui, mais fidèles quand même) –, tous artistes de très très grand calibre (n’oublions pas que normalement « les gens géniaux ont quelque chose qui cloche », et probablement dans ce groupe cette attirance ou sympathie pour Alvaro est ce qui démontre bien cette théorie, bien que bien loin au delà de la moyenne), qui sont pour la plupart d’origine marseillaise * ; bien qu’avec quelques dissonances comme un montpelliérain, une portugaise assez ensablée, un autre portugais endetté ensablé jusqu’au cou, un zurichois espagnoloïde, un australopithéquoi-et-comment, et encore un sale Boche. Oui. C’est ça.  
+
Alvaro, manuelisant tout, ou Manuel, alvarisant tout, ce qui revient au même – et qui n’est pas du tout pareil –, a / ont décidé potentialiser la mise : Ramasser un groupe de fidèles amis – inconscients (oui, mais fidèles quand même) –, tous artistes de très très grand calibre (n’oublions pas que normalement « les gens géniaux ont quelque chose qui cloche », et probablement dans ce groupe cette attirance ou sympathie pour Alvaro est ce qui démontre bien cette théorie, bien que bien loin au delà de la moyenne), qui sont pour la plupart d’origine marseillaise * ; bien qu’avec quelques dissonances comme un montpelliérain, une portugaise assez ensablée, un autre portugais endetté ensablé jusqu’au cou, un zurichois espagnoloïde, un australopithéquoi-et-comment, et encore un sale Boche. Oui. C’est ça.  
 
Même si le pourquoi de tout ceci on ne le sait pas.  
 
Même si le pourquoi de tout ceci on ne le sait pas.  
 
On nous dit (Manuel ?, Alvaro ?) qu’il s’agit d’artistes de très grande valeur. Mais en voyant leur cachet, on ne peut que mal le croire…
 
On nous dit (Manuel ?, Alvaro ?) qu’il s’agit d’artistes de très grande valeur. Mais en voyant leur cachet, on ne peut que mal le croire…

Revisión de 15:39 11 mar 2012

Suite à l’échec frustrant des Exercices de Frustration, mais joyeux par les exercices et le fait que – même sans comprendre pourquoi ni à quoi bon faire, mais on suppose que finalement peu importe – la ville de Marseille a été désigné Capitale Culturelle Européenne, et ceci durant toute l’année 2013 ; et ce n’est pas par le fait que simplement on s’en tape si une autre année, une autre capitale ou même une autre culture suivra celle-ci – et ceci même sans capital tout court, ou Villes ni Cultures – avec Manuel on s’est dit donc, comme Pina Bausch : « tanzt, tanzt sonst sind wir verloren ». Et nous voilà, dansant inconsciemment comme des fous dans la fossée phocéenne.


Clementine deluy.jpg


Alvaro, manuelisant tout, ou Manuel, alvarisant tout, ce qui revient au même – et qui n’est pas du tout pareil –, a / ont décidé potentialiser la mise : Ramasser un groupe de fidèles amis – inconscients (oui, mais fidèles quand même) –, tous artistes de très très grand calibre (n’oublions pas que normalement « les gens géniaux ont quelque chose qui cloche », et probablement dans ce groupe cette attirance ou sympathie pour Alvaro est ce qui démontre bien cette théorie, bien que bien loin au delà de la moyenne), qui sont pour la plupart d’origine marseillaise * ; bien qu’avec quelques dissonances comme un montpelliérain, une portugaise assez ensablée, un autre portugais endetté ensablé jusqu’au cou, un zurichois espagnoloïde, un australopithéquoi-et-comment, et encore un sale Boche. Oui. C’est ça. Même si le pourquoi de tout ceci on ne le sait pas. On nous dit (Manuel ?, Alvaro ?) qu’il s’agit d’artistes de très grande valeur. Mais en voyant leur cachet, on ne peut que mal le croire…

_______________________

  • Même si de quelques un(e)s on peut bien se poser pas mal de questions quant à ses origines, comme nous ont voulu faire comprendre des militants du Front National, qui d’ailleurs cherche nous imposer déjà avant 2013 une Marina pas seulement en pleine ville Phocéenne sinon partout l’hexagone.


Manuel de-dé-danse

blablalab